La joie s’exprime de différentes manières chez les membres des communautés, qu’ils soient en situation de handicap ou non. Elle est associée à l’expérience d’une paix intérieure, au sentiment d’épanouissement et à l’impression d’avoir trouvé sa place.
Petites joies du quotidien
La joie chez Simon de Cyrène passe d’abord par les joies du quotidien : l’ordinaire devient extraordinaire, car il est à la fois le lieu où l’on apprend à accepter et à dépasser ses limites et le lieu où la limite devient espace de rencontre avec les autres.
« LA JOIE CHEZ SIMON DE CYRÈNE EST ASSOCIÉE À UNE ENVIE DE VIVRE RETROUVÉE, PARTAGÉE ET CÉLÉBRÉE ENSEMBLE, FRATERNELLEMENT. »
Une expérience de fraternité
Cet élan collectif, cette joie partagée, sont vécus de manière personnelle et unique par chacun, avec handicap ou valide. L’existence vécue ensemble, fêtée ensemble, retrouve du sens et du goût malgré les difficultés du quotidien. On n’est pas seulement habitant d’une même maison, membre d’un même Groupe d’Entraide Mutuel ou compagnon, on fait une expérience de fraternité qui suscite de la joie. Être reconnu par les autres comme un frère ou une sœur et non seulement comme une personne ayant besoin d’aide ou étant capable d’aider, produit une joie profonde.